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Nouara Algérie

ECOLOGIE ET ENVIRONNEMENT EN ALGERIE (Une revue de web de plus de 4500 articles )

Quels pourraient être les enjeux ainsi que les réalités d'une Justice climatique mondiale?

"Nature morte d'un monde  trop vivant..." (Photo: Tedjani Karim)

"Nature morte d'un monde trop vivant..." (Photo: Tedjani Karim)

 

Chapitre dix

"L'utilité est-elle un critère possible pour une  Justice climatique mondiale?" 

 

Quelle peut être la nature morale qui nous aidera à juger de la légitimité ou non des manifestations du Climat ? Cette force de la Nature,  que l’intelligence artificielle nous aura relevée avec beaucoup plus de science,  peut-elle être  vraiment capable d’humanité ? Pour que nous lui prêtions pourtant  l’idée de justice, ne faudrait-il pas  accepter  cette improbable condition ?

Quelles conceptions du Monde une telle humanisation  du Climat pourrait bien  influer sur le paradigme  mondial de ce Siècle naissant ? D’autant qu’il n’a pas encore fini de transformer en lui certaines inhumanités héritées de plusieurs siècles.  D’un « Nouveau Monde » qui n’aura pas su faire oublier tous ses archaïsmes persistants  en se grimant de  paradis artificiels contre argent virtuel ; tout en  voilant la face de la Terre de ses fumées opaques. Mais  la vérité de ses dérives  "humanistes" reste une  réalité criante à la lumière du jour ; jusque dans la formule  même de l’air que nous respirons ...

Certains s’enrichissent à outrance, sans assumer les responsabilités écologiques de leurs œuvre de quantités écocidaires qui ne suivent qu'une seule logique continue: la croissance. Tandis que d’autres subissent la conséquence  de cette moralité qui place le plus fort et le mieux argenté au sommet d’une pyramide d’injustices légales. Comme si les derniers n’avaient pour les premiers que la  légitimité de vivre que  dès lors qu’ils sont « utiles » à un bien commun de plus en plus entre des mains privées. L'oligarchie collectiviste, aurait dit Orwell, face à un monde qui se donne pourtant  les airs moraux de l'Egalité, de la Liberté et si peu de la Fraternité. Big Brohers, ici est purs Libératlistes, aux pluriel, et la morale qu'incarne leBig Data est celle de la vitesse au service de l'egoïsme  et des intérêts particuliers. Pas ceux de nos individualités, que l'on ne s'y méprènne jamais, mais pour le plus grand amassement de biens et de fortunes de quelques individus. 

Mais qui possède donc  jusqu’à plus de 50 pour cent du bien matériel de ce monde ? Un  tout petit  mais  très puissant pour cent de la population mondiale !  Qui s’est arrangé pour que seulement 20 autres pour cent profitent suffisamment de leur système de félicité privées,  pour ne pas le remettre en question. La  vision de l’injustice sociale variera toujours selon de quel côté de la balance de la félicité matérialiste on se positionne dans un tel monde.  

De nos jours, rien n’a  vraiment changé, l’hégémonie actuelle qui pèse sur le monde comme un empire en déclin, possède  néanmoins toujours la plus formidable puissance de feu militaire jamais envisagée par une civilisation humaine. La loi du plus fort demeure donc le principal glaive justicier  qui tranche sur nos destinées. C’est juste que, de nos jours,  l’usage de la force n’est plus seulement un art de la guerre, mais bien une guerre ou même l’art est devenu  une arme  encore plus redoutable pour conquérir les esprits et les âmes...

Quelle est donc l’identité ou les divergences des injustices que le régime climatique mondial se devra  d’équilibrer sur Terre ? Pour se prétendre équitable, et ce  à l’échelle de toute  la Planète; non  pas d’un cercle de privilèges mondial.  Puisque qu’il ne s’agit pas ici de climats continentaux, mais bien d’un seul et même climat pour l’Humanité.  Se faire une Justice climatique, équitable  entre  tous les peuples du Monde. La base morale de cette justice est-elle le meilleur terreau pour cultiver un nouveau regard sur le Climat du  Monde ?

J’entends cette fois-ci  par « Climat »,  une couche  immatérielle  d’idées ;  une atmosphère politique ;  un environnement  matérialiste  qui a fait de l’Economie humaine  seulement une affaire de quantités. Ce  climat industriel est à la fois producteur et consommateur  d’une bulle économique, à taille planétaire et si peu humaine. Elle entoure,  influence toutes  nos existences, à la façon d'une seconde  peau invisible. Elle Habille le globe terrestre de ses transpirations pestilentielles, sans couleurs ou odeurs pour nous avertir du danger.

La prolifération de ses toxicités  directes et indirectes dans l’atmosphère terrestre,  fait  du Marché mondial non plus seulement un sujet passif, mais bien un des plus fébriles concurrents  du Climat naturel qui se déroule en variations interactives  sur l'ensemble du Globe . Il faut imaginer que le discours officiel place tout même l’activité globale de notre espèce au rang d’influence  climatique majeure ; bien avant l’action potentielle sur le Climat terrestre   d’évènements cosmiques ou bien de phénomènes telluriques. C’est une véritable  révolution culturelle qui s’annonce dans le sillage de cette  conviction politique, qui est apparemment fondée sur des  résultats  ainsi que des prévisions scientifiques.On parle d'Anthropocène pour qualifier l'Age des Hommes industriels...

C’est toute la différence de l’état d’esprit de notre Siècle  avec  les millénarismes passés. Fini le temps des prophètes et des devins inspirés par une intelligence divine !  L’eschatologie  scientiste, pour annoncer son Apocalypse, use de rapports scientifiques et d’ordinateurs. Dont les sentences doivent être admises et assimilées par la population mondiale  comme des vérités indiscutables. Le rapport du GIEC fait ici office de véritable Bible de cette nouvelle religion de l'Homme post-moderniste. Espérons donc que cette Justice climatique à venir ne sera pas une Inquisition moderne. Quand on voit comment sont  de plus en plus considérés et même traités les « climato-sceptiques »  par le régime climatique mondial,  comme par les médias et l'opinion publique, on ne peut que légitimement espérer le contraire.

Le principe cartésien du « doute », tend-il à s’étioler  dans l’esprit de celles et ceux qui fustigent  le recul scientifique  comme hérésie intellectuelle , dès lors qu'il s'agit de réchauffement climatique ? Jusqu’à même condamner  l’agnosticisme  climatique,  qui revient  seulement à dire « je ne sais pas si cela est vrai, mais je ne peux pas non plus prouver le contraire »...

« Faire la pluie et le beau temps »,  dans un pays,  c’est en  être  le principal responsable, la puissance la plus influente  sur son climat social.  Qui fait donc  aujourd’hui  tel acte de Climat   à travers  quasiment tout le Monde ? Est-ce toujours  la Nature obéissant à une Justice cosmique ou  bien à une volonté divine ?  Tout dépendra bien entendu de votre morale  propre, puis de vos croyances et convictions identitaires pour répondre à cette question. Faut-il  bien, d’ailleurs, expliquer toute l’injustice possible du Climat par une seule responsabilité économique  ou historique?

Quand on sait tout le bien, mais aussi la part immense de mal que l’invention de l' Ecriture aura apportés à l’Humanité. Celui qui en use actuellement, sans l'avoir envisagé par lui-même, qui s’est inscrit dans son système, doit-il condamner ses  inventeurs  présumés  pour tous les inconvénients qu’il aura subis depuis que l’Ecriture existe ? Qui est responsable du fait que "Mein Kampf" est un des livres les plus lus au Monde?  

Est-ce celui qui aura inventé l'imprimerie, dont une des premières productions fut une Bible réformée par Luther? Ou bien celui qui aura inventé les pemières formes d'écritures? Ou bien est-ce les Allemands qui auront laissé ce livre se diffuser dans leur pays au point d'en réaliser bien des néfastes projets? Est-ce seulement Hitler le resonsable de ses écrits, eux-même fruit d'une culture intellectuelle bien particulière? Accusera-t-on les Hindous d'avoir  inventé la Svatika? Ou bien, à mon échelle,  est-ce moi qui le cite dans cet article? Chacun doit se faire sa propre réponse à ce sujet. La plume, un des symboles universels  de la justice, aura permis de justifier même les pires actes inhumains, dont l’esclavage et la colonisation, comme de nous en libérer; du moins en apparence...

Est-ce vraiment seulement l’Europe qui est l’inventeur et responsable  de la Révolution industrielle, d’ailleurs ? N’est-ce pas grâce à  l’apport massif de l’Orient  ainsi que de l'extrême Orient? Dans le développement de ses sciences et de ses philosophies dites "modernes"? Qui  aura permis bien des découvertes scientifiques à la base de cette révolution ? Qui a inventé la poudre à canon, s’en est servie avant tous les autres peuples pour faire la guerre ? Qui a donné les clefs   de ses plus belles  lettres, en Europe,  aux mathématiques ainsi qu’à la Chimie ? Pythagore et bien d’autres savants grecs n’ont-ils pas tous été inspirés et fascinés par la science de l’Egypte antique ? Que s'est-il passé au Moyen-Age , hors d'Europe, pour que la Renaissance émerge un jour? 

Si l’on veut considérer le Monde  comme un ensemble, alors on devrait, à mon humble avis,  aspirer à ce qu’il soit celui d’abord de la responsabilité collective et non de la morale collectiviste. Pour moi, aucun peuple ne doit  prendre la place d’un Noé et  de sa famille, tandis que les autres se contenteraient de l’innocence des animaux;  qui n'ont été  seulement  que conviés se joindre à  l’Arche. Sans en avoir ni conçu les plans, ni même assumé le gouvernail...

J’ose cette exagération pour souligner à quel point la Justice climatique, comme toute théorie de  pouvoir, est fondée sur la conscience de ses responsabilités et  de sa puissance  sur la réalité  présente.  La révolution industrielle est le prolongement presque logique d’une évolution humaine mondiale,  qui s’est déroulée et manifestée de manière éparpillée et alternée à travers bien des endroits du Monde; dont notre région mondiale, le Maghreb.Je ne voudrais jamais avoir l'idée indigène que le monde dans lequel je vis n'a qu'un seul  groupe humain responsable et donc maître  de son évolution...

La révolution industrielle n’a pas eu que des effets négatifs sur nos vies, et bien des peuples du Monde ont pu accéder à des conditions de vie plus décentes depuis que la machine et le produit chimique auront  permis un certain confort moderne universel.

La colonisation, par exemple, n’est pas le fruit de cette révolution mais plutôt la manifestation la plus évidente de la  piètre qualité morale des mains qui auront usé du  fusil, du germe et de l’acier pour imposer une toute autre révolution dans le cœur des gens .Preuve évidente de cela, le Marxisme n’a jamais remis en question l’industrie, ni vraiment  la consommation de masse, mais surtout  la morale du capitalisme libéral.  

Aussi, pour moi la question de la colonisation ne peut être une question centrale pour le bloc climatique  « Sud », qui doit fonder son discours sur sa responsabilité actuelle,  qui lui donnera le pouvoir de demain,  dans ce jeu d’échec surtout géopolitique qu’est le régime climatique mondial. Non que l'on doit éluder un tel débat morale, mais il n'a pas vraiment sa place dans la justice climatique de demain...

Pour moi, actuellement, un pays, comme l’Algérie, qui importe quasiment tout ce qu’il consomme, des produits  qui plus est  souvent très nocifs pour l’environnement, qui est un des plus gros consommateurs d’Afrique de produits Européens,  qui pratique l’injustice climatique entre le Nord et le Sud  de son propre territoire, ne peut affirmer qu’il n’est pas responsable au présent  de ce qui pourrait  nous arriver tous et toutes, demain.

Nos émissions à effets de serre, notre empreinte écologique nationales sont justes exportées ailleurs. Dans des pays comme la Chine qui ont concentré avec les Etats Unis les plus grandes quantités d’émissions de gaz à effet de serre de la Planète. D’ailleurs, à ce titre, alors que cela ne fait pas plus de cent ans que sa propre industrialisation aura débutée, la Chine pèse à arme égale dans ce débat avec les plus anciens pollueurs  de la Planète.

Pouvoir de nuisance, donne responsabilité de pouvoir sur ceux qui se considèrent irresponsables du système qu'ils entretiennent. Notre résponsabilité présente est donc d'exiger de nous même une profonde révolution intellectuelle.

Nous devons prendre conscience que ce monde ne fonctionne que parce que nous en sommes tous les consommateurs de masse. Que depuis nos indépendances respectives, jamais la moralité de la quantité, origine de nos souffrances colonialistes, n'aura été remise en question par nos jeunes  républiques; sitôt crées elles  se sont  inscrites dans le productivisme industriel. La moralité du socialisme, allié à l'immoralité du capitalisme, le capitalisme d'Etat,  que nous acceptons de subir, n'est en rien digne d'être une Morale. C'est l'équilibre de ces deux forces qui devrait nous paraitre juste. L'industrie éthique et non  l'écologisme moraliste...

La seule morale possible, de nos jours,  me semble celle qui résulte d’un dialogue entre tous les sociétaires d’un même contrat social. Certes, pour beaucoup, le terme est utopiste, ou ne fait seulement référence qu’à la moralité de Rousseau. Je pense tout de même  que des lois décidées  en commun, avec un maximum de participation sociale sont les plus évidents indices d’une société moralement juste et équitablement légale.

 Mais pour qu’elle le soit, il faudrait d’abord veiller à ce que l’ensemble  des citoyens et citoyennes disposent d’un minimum de connaissances et de culture politiques  pour  décider   du sort de leur nation. Non pas  la politique, l’art  pour certains de prendre le pouvoir dans une cité, mais le devoir  politique de tous  les citoyens quant à assumer  et se partager les  responsabilités au sein de la société.

Depuis l’avènement progressif  de l’économie de  sociétés de consommations  républicaines, favorisée certes  par  toutes précédentes et actuelles  révolutions industrielles, la norme morale aura beaucoup changé parmi nos sociétés. Dans cette affaire, les anglo-saxons auront été les plus prompts à imposer  une nouvelle moralité au Monde.  

Certes, elle est  en grande partie héritée des «  Lumières » Européennes, mais  demeure, il me semble, profondément ancrée dans une morale protestante  et utilitariste. Ne dit-on pas depuis la Déclaration universelle des  Droits de l’Homme,  que nous sommes certes tous nés égaux en droit, mais que la notion de classe sociale doit se faire en fonction de « l’utilité commune » ?

Cette utilité est encore considérée d’un point de vue purement matérialiste et consumériste, puisque la réalité du  Bonheur dans notre monde,  du moins pour les utilitaristes qui ont rédigé ce texte, c’est bien la quantité de plaisirs qui doit primer sur le nombre de souffrances dans cette utilité. La valeur de ces plaisirs et souffrances reste cependant assujettie à une certaine subjectivité, qui  rend toute notion d’égalité ou de liberté soumise au contexte politique d’une époque ou d'un groupe social...

Nous retrouvons dans cette vision de la Justice beaucoup de la Morale de Pélage, un des premiers prêtres, d’origine « anglaise » dont la dissidence avec  le discours officiel,  défendu par St Augustin,   lui valut d’être excommunié vers le 5ème siècle occidental.

Sa vision très rationaliste et anthropocentrée de la Grâce renaitra à bien des égards dans les réformes apportées  bien plus tard au sein du Christianisme. Lebnitz, penseur emblématique de la modernité occidentale avait je pense telle conception.Descartes lui-même ne fera que reprendre cette idée dans un contexte de Siècle plus tolérant avec la Raison, tant  bien entendu qu’elle ne mettait pas la morale religieuse en question   On dit même, dans certains cercles intellectuels contemporains,  que Pélage est le père spirituel  du Siècle des  Lumières et que cette révolution  culturelle fut sa première grande revanche posthume contre  la morale de St Augustin.Mais, que l'on ne s'y trompe pas, le message de libre arbitre de Pélage, dans un cadre spirituel, s'est métamorphosé en libéralisme, libératisme purement athé et matériel...

Au point que,  dans la culture morale de la plupart des grands maîtres de ce monde,  il est  semble-t-il toujours  plus rentable, et donc juste,  de chercher le moindre des Mal pour en faire un Bien commun. On appelle cela bon sens ou parfaite raison. De l’utilitarisme le plus raffiné ou bien brutal, du Marxisme à l’Hyper capitalisme, en  passant par le Libéralisme le plus social, il semble que l’on aura toujours cherché à quantifier le Bien, ainsi que son complémentaire (et non son contraire),  le Mal, par de savantes  équations et de ronflants discours politiques. Mais la quantité de Bonheur (matériels), est-ce vraiment quelque chose de si utile à l’Humanité ? Au point d’en faire un véritable culte. Ce sera la science, religion de la Raison, qui sera désormais  garante du libre arbitre de l'Homme dans sa quête non plus de la Grâce spirituelle, mais de la félicité matérielle....

On doit se rappeler  qu’au 18ème siècle un homme qui était considéré tout ce qu’il y a de plus éminemment sérieux, en Angleterre,  proposait  à tout « honnête homme » un barème universel de plaisirs ainsi que  de souffrances.  Un « calcul de félicité », pour reprendre les termes de son inventeur,  capable  de trouver un soi-disant  équilibre « utile » dans chacune de ses actions.

Certes, cette idée ne fut pas admise de manière incontestable, même par d’autres utilitaristes notoires tels que John Stuart Mill. Cependant on dirait qu’elle ne cessera d’être latente dans la vision que le Marché mondial semble aspirer à imposer à notre Monde. Ainsi, aujourd’hui, même  le fameux « Produit Intérieur de Bonheur », ne serait en rien une  trouvaille anticapitaliste ! Bien au contraire, on ne fait ici que reconsidérer la chose de la même manière que  Jérémy  Bentham, un des pères spirituels du Libéralisme moderne et théoricien du calcul de félicité...

Entrer donc dans des considérations morales pour aborder le sujet climatique ne peut être qu’une œuvre politique. Croire que l’on peut dissocier la morale, de la justice et du politique, c’est croire que deux et deux font cinq, à mon humble avis. Toute découverte scientifique, à l’instar des révélations religieuses,  ne sauraient  n’échapper pas à ce principe : la politique des politiciens  est toujours une  moralité tout ce qu’il y a de plus subjective qu’ils aspirent à rendre Morale d’Etat, de Nation, et donc de Justice.Et cela par tous les moyens possible de la conviction Cette politique a fait de la maïtrise du langage et des chiffres  l'outil de ses normalités. Donc, dans un dialogue démocratique où la parole n'est pas équitablement enseignée et pratiquée, il ne peut y avoir de Justice démocratique...

C’est pour cela que nous ne répondrons pas encore à la question qui introduisait cet article. Il me faudra cette fois-ci prendre le temps de réfléchir et me documenter pour aborder la chose avec sérénité...

 

 

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