Le ministre du secteur veut une amélioration en matière de gestion de l'eau (photo DR)
ALGÉRIE. Les entreprises étrangères chargées de la gestion de l’alimentation en eau potable (AEP) dans les quatre principales villes du pays connaissent des fortunes diverses.
Selon une déclaration faite par le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, sur les ondes de la Radio nationale le 5 janvier 2011, une nette amélioration est constatée dans la capitale où le taux d’alimentation H24 est passé de 8% en 2006 à plus de 90% aujourd’hui, grâce au partenariat signé à cette date avec le groupe français Suez-Environnement .
Ce partenariat a également permis la formation d’employés algériens à la gestion moderne des réseaux.
A Oran, la situation s’est améliorée sous l’impulsion du groupe espagnol Agbar Agua, même si les usagers se plaignent du renchérissement des factures d’eau qui auraient doublées voire triplé.
Le bilan semble en revanche négatif à Constantine où la gestion de l’AEP s’opère en partenariat avec la Société des eaux de Marseille (SEM).
Les objectifs fixés n’ayant pas été atteints, les pouvoirs publics ont lancé une mise en demeure à la SEM.
Idem à Annaba où l’opérateur allemand Gelssen-Wasser a été sommé de «prendre ses responsabilités » et un audit commandé par les autorités afin d’évaluer la situation.
Selon une déclaration faite par le ministre des Ressources en eau, Abdelmalek Sellal, sur les ondes de la Radio nationale le 5 janvier 2011, une nette amélioration est constatée dans la capitale où le taux d’alimentation H24 est passé de 8% en 2006 à plus de 90% aujourd’hui, grâce au partenariat signé à cette date avec le groupe français Suez-Environnement .
Ce partenariat a également permis la formation d’employés algériens à la gestion moderne des réseaux.
A Oran, la situation s’est améliorée sous l’impulsion du groupe espagnol Agbar Agua, même si les usagers se plaignent du renchérissement des factures d’eau qui auraient doublées voire triplé.
Le bilan semble en revanche négatif à Constantine où la gestion de l’AEP s’opère en partenariat avec la Société des eaux de Marseille (SEM).
Les objectifs fixés n’ayant pas été atteints, les pouvoirs publics ont lancé une mise en demeure à la SEM.
Idem à Annaba où l’opérateur allemand Gelssen-Wasser a été sommé de «prendre ses responsabilités » et un audit commandé par les autorités afin d’évaluer la situation.